« L'expression risque de réputation désigne le risque financier qu'encourent des entreprises dont l'image de marque pourrait être ternie par des scandales, notamment liés à leurs pratiques sociales et environnementales. Difficile à évaluer en raison du manque d'éléments objectifs permettant d'une part de mesurer la valeur d'une marque et d'autre part la réalité du risque de scandale couru par une entreprise, il demeure néanmoins suffisamment tangible pour être une des principales raisons incitant les entreprises à s'engager dans des démarches de RSE. » (www.novethic.fr/lexique)

• ISO 26000, § 6.6.3.1, 6.6.5.1, 6.7.4.1, 7.8.2 et 7.8.3.
• Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales, p. 79.
• Réseau Pacte Mondial France, Guide de rédaction des Communications sur le progrès (COPs).

• « Analyses et défis. Le risque de réputation, le mal du siècle » : dossier : Risques, mars 2014, n°97.
• P. Cailleba,« L’entreprise face au risque de réputation » : Responsabilité & environnement 2009, n°55,  p. 9-15.
• Deloitte Conseil (Paris), Etude mondiale 2014 sur le risque de réputation, 2014.
• K. Roubaudi, « E-réputation: quels risques pour les entreprises et les particuliers? » : Lamy Droit des affaires 2013, n°87, p. 113-115.